Merci François pour cette petite histoire, parce que le parapente c’est souvent des beaux vols, mais c’est aussi souvent (oui trop souvent diront certains ! des bonnes galères). Bon l’avantage c’est que ça fait des histoires à raconter au coin du feu. Attache ta sellette enfile ton cocon et c’est parti, vis ma vie de parapentiste grenoblois.
Un bon vieux but à Chamrousse 🙂 mode Préformation qualification boulet d’or : 8 heures de formation puis le Graal…17h35, vespa chargée avec la voile go go go !
…zut…Pas de bus pour monter depuis SMU ; 23 voitures passent et la 24ième me monte en stop : j’en étais à prier la Sainte Navette phlébite du pouce naissante.
Durant la montée la 205 pigeot de la généreuse conductrice à faillit rendre l’Âme : re-prière. Fenêtres fermées bloquées modèles 1985…pas de climatisation. Fumée cigarette de la conductrice incluse 🙂
Alors que 3 ailes thermiquement…une fois sorti avec la nausée de la 205…le ciel se charge…les ailes se posent. Je temporise en offrant de la Grimbergen à la conductrice. Le budget bière aurait pu dépasser la valeur vénale de la dite 205…
Après un jus de fraises, Je redescends en stop… Je retourne chercher 20 kms plus loin en vespa mon téléphone portable oublié depuis le midi chez ma sœur : Arrivée…trempé en vespa chez elle : faim subite…rien à manger. La pluie s’arrête.
Retour au Touvet mais l’ampoule de code et de phare grillent 200m après le démarrage..25 kms de nuit avec les clignotants en guise de code en visualisant la route orange 1 seconde sur 2 visibilité de 2 mètres devant la roue. Puis, Je me re-prends la flotte 1 km avant d’arriver au But !
<mode chat noir off, then go to dodo>
François 🙂